Chef de projets aéroportuaires
J’ai rejoint setec en 2017 en tant qu’ingénieur aéroportuaire, après 4 ans d’expertise en maitrise d’œuvre.
J’ai apprécié que les bureaux soient situés en plein cœur de Paris, auprès d’équipes pluridisciplinaires, dynamiques, où le savoir se transmet facilement.
Ma plus grande fierté, c’est le chantier pour l’aéroport d’Antananarivo, à Madagascar, que setec inter a suivi pendant 8 ans, dont 4 ans pour moi. C’était un chantier très difficile techniquement, mais c’était une vraie aventure humaine. On a vu une ville se construire autour de l’aéroport, il a fallu tout créer, amener les réseaux, convaincre la population, transmettre du savoir-faire pour que le projet puisse se réaliser, c’était très satisfaisant d’aller jusqu’au bout et de livrer au client à la fin.
J’ai l’impression d’être dans une entreprise qui s’engage pour la transition énergétique. Pour moi, c’est une vraie valeur valeur ajoutée, on a besoin d’une ingénierie avec des têtes qui réfléchissent à comment faire moins et mieux.
Un anniversaire durable et festif
En juin 2022, setec international fêtait ses 50 ans. Pour l’occasion, les collaborateurs de tous les sites (Bordeaux, La Réunion, Lyon, Paris, Vitrolles, Tunis) étaient réunis pour deux jours en Camargue, pour renouer avec les origines de la société et ses valeurs fondatrices, véhiculées par les anciens dirigeants de l’entreprise présents pour l’occasion.
Thibaut Lepingle et Marc Ollivier, les directeurs généraux d’inter, ont rappelé à quel point l’esprit d’aventure, la passion, l’audace et la solidarité avaient permis à l’entreprise de se rendre incontournable sur les plus grands projets d’infrastructures en France comme à l’international. Cette croissance remarquable des dernières années encourage à viser un déploiement international encore plus vaste et un positionnement de plus en plus vertueux et responsable tant sur le plan sociétal que sur celui de l’environnement.
Ces deux jours d’anniversaires, c’était aussi un village de tentes (et de douches !) éphémères et durables, une soirée … mémorable, l’intervention de Marc Lièvremont sur les valeurs communes de setec avec la planète rugby, et une époustouflante course de voitures en cartons.
Bref, un beau moment partagé ensemble.
Des parcours professionnels évolutifs
Je suis ingénieur hydraulicien de formation. Après une expérience en Nouvelle-Zélande, j’ai rejoint le département hydraulique, à Vitrolles, où j’ai d’abord réalisé des études hydrauliques de drainage d’infrastructures de transport pendant 5 ans, avant de passer en gestion de projet.
Mais en 15 ans chez setec inter, j’ai travaillé sur des projets pour quasiment tous les pôles ! Les projets auxquels j’ai contribué sont routiers, ferroviaires, urbains, aéroportuaires. Ils sont situés pour quelques un en France, pour beaucoup à l’international, parfois gigantesques, parfois plus modestes. J’ai été tour à tour maitre d’œuvre, assistant à maitrise d’ouvrage, chef de projet multi casquette.
Aujourd’hui ce qui me motive, c’est l’adaptation des infrastructures au changement climatique. Dans le monde, des Iles Salomon à l’Ouganda, de l’Argentine au Tchad, mon ambition est que ces problématiques soient intégrées dans la conception de chaque projet et de contribuer à faire évoluer les mentalités à ce sujet.
J’aime avoir la possibilité d’évoluer, et setec inter permet vraiment de le faire. Si tu as des idées, si tu veux développer quelque chose, on va toujours te soutenir.
Ingénieur En Chef
Apprendre et transmettre
Projeteuse BIM
J’ai repris mes études sur le tard. A la base, j’ai fait des études d’art !
Mon BTS et ma licence PRO en poche, j’ai commencé par un stage chez setec inter à Vitrolles. Au bout de 15 jours le projet de la Ligne à Grande Vitesse Bretagne Pays de la Loire démarrait, et mon stage s’est transformé en embauche en tant que dessinatrice autocad ! J’y suis restée 4 ans.
Depuis, mon poste a bien évolué, avec l’essor de la maquette numérique et du BIM. Je fais de moins en moins de production , mais davantage de modélisation, c’est ce que j’aime.
Je suis toujours en apprentissage, c’est mon moteur. Je me suis formée à l’anglais, pour travailler sur HS2 en Angleterre, mais surtout à des logiciels de rendu graphique, ça me permet de toucher à tous les domaines de l’aménagement.
Ce que j’aime, c’est l’esprit d’équipe qui règne ici. On trouve les solutions à plusieurs, on se soutient. Mon nouveau challenge, c’est d’accompagner les jeunes, de pouvoir les former et aussi écouter leurs idées.
L'esprit pionnier
Acquérir une expérience multiforme, apprendre l’autonomie
« Entré chez setec en 1972, en tant qu’ingénieur pour l’international, j’ai poursuivi l’ensemble de ma carrière sur des projets hors de France, en Côte d’Ivoire, en Algérie, au Bénin, au Liban…. Le pays qui m’a le plus marqué a été l’Iran, où j’ai été chef de mission, avec 550km d’autoroute à étudier ! A l’étranger nous avons rencontré d’autres cultures et, souvent, établi avec nos partenaires des relations humaines très riches : j’y ai beaucoup appris. Sur nos projets à l’étranger la marge financière était plus réduite qu’en France, mais ces projets où nous étions en prise directe avec les décideurs ont permis aux ingénieurs une grande autonomie et l’extension de leurs compétences, les autorisant à prendre de plus grandes responsabilités. Enfin pour les reconnaissances c’était l’aventure : se déplacer à cheval, dormir sur la route ou chez l’habitant… Cette expérience irremplaçable a été bénéfique pour l’ensemble du groupe»
Jean-François Bellosta
Ancien Directeur de setec international
Le chantier, une expérience enrichissante
J’ai été embauché chez setec inter en 2013, dans l’agence de Bordeaux.
Avec mon profil ingénieur généraliste, j’ai d’abord fait des études de projets routiers et ferroviaires. Rapidement, j’ai eu l’opportunité d’aller sur des chantiers, d’abord pour dépanner, puis pour suivre les projets que j’avais pilotés en étude.
Le chantier, je comprends que cela fasse peur, c’est un rythme dense et soutenu. C’est souvent un challenge, comme sur l’A660 que j’ai suivi seul, mais c’est un investissement que je choisis, qui est cadré dans le temps, je savais que j’en étais capable.
Je fais du rugby amateur à bon niveau, c’était important d’arriver à concilier cet aspect de ma vie avec les grands déplacements liés aux suivis des chantiers, ça m’a permis de garder un équilibre et de tenir sur la durée.
Quand je repasse coté études, je constate que mon expérience terrain m’apporte beaucoup. Ça me permet aujourd’hui d’encadrer des équipes et de m’engager demain dans d’autres projets d’envergure.
Ingénieur Etudes et Travaux
Devenir ingénieur dans la maison setec
Ingénieur Principal
Je suis arrivé chez setec en 2005, en qualité de dessinateur, avec une formation et une expérience principalement dans le secteur industriel. Rien ne me prédestinait donc à passer presque 20 ans de ma vie dans une société d’ingénierie !
Au fil des années, ce que je retiens, et qui a façonné mon parcours, ce sont les opportunités qui m’ont été offertes : l’entreprise m’a fait confiance, petit à petit, on m’a confié des missions avec de plus en plus de responsabilités.
Je suis ainsi intervenu sur des études à différents stades, parfois en les poursuivant en phase travaux. Il s’agissait principalement de grands projets autoroutiers, mais aussi ferroviaires et portuaires. Chez setec inter, les possibilités sont vraiment multiples, et le seul obstacle c’est finalement soit même. Si on s’en donne les moyens, on peut arriver où on veut !
Lors de ma carrière j’ai croisé des personnes bienveillantes, qui m’ont aidé tout au long de mon parcours. Cela traduit un réel esprit d’équipe au sein de setec. Aujourd’hui ce qui me motive, c’est de pouvoir à mon tour aider et accompagner des équipes ainsi que les former et découvrir de nouveaux projets.
